Bonjour Alors nous avons vu les personnes qui nous louent la maison. Ils ont l'habitude de partir avec leurs enfant et leurs petits enfants. Les petits enfants ont été vacciner à 10 ans pour la fièvre jaune, pas avant. Le dernier qui a 4 ans n'est pas vacciner. Ils ne prennent pas de traitement anti palu. Administrerune dose partielle du vaccin contre la fièvre jaune est efficace et pourrait permettre de vacciner des millions de personnes supplémentaires en situation d'urgence, selon les résultats récents d'un essai mené par Epicentre, le centre de recherche épidémiologique de Médecins Sans Frontières (MSF), publiés le 9 janvier dans la revue Lesrecommandations vaccinales. 3. Le schéma vaccinal. 1. La maladie. La fièvre jaune est une maladie souvent très grave, qui tue par dizaines de milliers chaque année. L’OMS estime qu’en l’absence de vaccin, le tribut serait autour de 2 millions de victimes. Une seule injection protège l’individu à vie, considère maintenant l'OMS. Quelquescas importés en Chine et au Kenya avaient alors fait craindre une épidémie majeure à l’OMS. 137 morts de la fièvre jaune en 2016 en Angola et RDC. Depuis le début de l’année Ilssont au nombre de 6, l’Éthiopie, la Guinée, le Nigeria, l’Ouganda, le Sénégal et le Soudan du Sud. Éthiopie. En 2020 le pays qui n’a pas intégré la vaccination contre la FJ dans son calendrier vaccinal montre une couverture vaccinale contre cette maladie de 40 % (2020). Le pays a signalé 85 cas suspects de FJ (deux cas Vay Tiền Nhanh Ggads. Le secrétaire Antony J. Blinken à l’Institut Pasteur de Dakar Département d’État des États-Unis Antony J. Blinken, secrétaire d’État Le 20 novembre 2021 Allocution Institut Pasteur Dakar, Sénégal M. SALL Monsieur le secrétaire, chers invités, permettez-moi de vous dire que c’est un grand honneur et un grand privilège pour nous de vous accueillir à l’Institut Pasteur de Dakar. L’Institut Pasteur de Dakar est depuis longtemps un lieu de collaboration entre les États-Unis et le Sénégal dans les domaines de la recherche, de la santé publique, de la formation, qui remonte au début des années 30 lorsque des scientifiques américains et français ont travaillé ensemble pour mettre au point le premier vaccin contre la fièvre jaune en 1937. Aujourd’hui, cette collaboration est encore plus vivante et active et rassemble des scientifiques sénégalais et américains dans le cadre d’un programme majeur de recherche sur les maladies émergentes, la surveillance des épidémies et la riposte à celles-ci, d’un programme d’échange d’étudiants avec le concours des National Institutes of Health des États-Unis, des CDC américains et du département de la Santé et des Services sociaux. La COVID-19 a vraiment impacté de manière significative notre continent et reste une menace majeure pour notre avenir, car comme vous le savez, nous avons la couverture vaccinale la plus faible au niveau mondial. Cette situation a conduit notre président, M. Macky Sall, l’Union africaine et le CDC Afrique à demander à l’Institut Pasteur de Dakar de s’appuyer sur son expertise et ses quatre-vingts années d’expérience de la fabrication de vaccins pour contribuer à l’approvisionnement en vaccins contre la COVID en Afrique. C’est ainsi que nous avons lancé ce projet MADIBA il y a neuf mois. Notre ambition est vraiment d’avoir un impact sur la pandémie de COVID-19 en produisant un vaccin contre la COVID en Afrique pour l’Afrique avant la fin de cette pandémie. Nous voulons également faire en sorte de disposer de capacités importantes dans la perspective de futures pandémies, de futures épidémies et aussi pour la vaccination de routine. Nous entendons vraiment nouer un partenariat avec des entreprises dans l’espace de préparation aux pandémies aux États-Unis et ailleurs, et nous souhaitons mettre en place une capacité de culture cellulaire et d’ARN messager pour de nombreux vaccins importants pour nous, l’objectif final étant de favoriser l’autonomie vaccinale de l’Afrique dans le cadre d’une collaboration au niveau régional – un objectif sur lequel travaille l’Union africaine. Nous acceptons avec plaisir le soutien du gouvernement américain dans le cadre de cette mission. Alors que les États-Unis mettent en place une capacité de plus d’un milliard de doses en vue d’une future pandémie, l’IPD se tient prêt à vraiment finir une partie de ces doses pour l’Afrique. Et la nouvelle technologie de production et de finition dont nous disposons permet également une production et une distribution rapides et transformera la réponse à la pandémie maintenant et à l’avenir tout en ayant un impact sur la pandémie. L’IPD est à la recherche d’opportunités de partenariat pour obtenir la technologie et le vaccin, ainsi qu’à des fins de financement. Dans cette ambition, plusieurs institutions financières, dont la Société de financement du développement international des États-Unis DFC grâce à une subvention initiale de 3,3 millions de dollars américains nous soutiennent déjà. Et je tiens vraiment à exprimer au nom de mes collègues et du gouvernement du Sénégal notre plus profonde gratitude à Monsieur le secrétaire pour ce soutien essentiel au progrès de notre mission. En tant que seule entité vaccinale pré qualifiée par l’OMS sur le continent africain, nous pensons que l’Institut Pasteur de Dakar est particulièrement bien placé pour contribuer à l’autosuffisance vaccinale à long terme en Afrique. Et nous construisons ce MADIBA – ce projet est un véritable partenariat d’infrastructure transparent, axé sur la valeur, de haute qualité, qui contribuera à réduire les carences importantes en matière d’infrastructure dans le monde en développement, et conforme aux principes de la reconstruction en mieux. C’est pour cette raison que nous sommes vraiment impatients de travailler avec le gouvernement américain dans un proche avenir. Merci beaucoup pour votre attention, Monsieur le secrétaire. Applaudissements. MONSIEUR LE SECRÉTAIRE BLINKEN Bonsoir à tous. Docteur Sall, merci beaucoup, non seulement pour votre allocution mais surtout pour votre direction de l’Institut Pasteur de Dakar, et aussi pour la visite des locaux et la présentation non seulement de ce que vous faites aujourd’hui, mais aussi de ce que vous allez faire demain avec les projets d’expansion qui sont très significatifs et importants. C’est vraiment quelque chose de voir de près un endroit comme celui-ci en personne et de penser un instant aux bonds en avant miraculeux des connaissances que représente chaque vaccin produit ici, et à la capacité de ces doses à sauver d’innombrables vies – face à la fièvre jaune, à la COVID, et d’autres maladies susceptibles d’émerger à l’avenir. Et j’ai aussi beaucoup apprécié, Docteur, de rencontrer des membres de votre équipe qui sont très fiers, à juste titre, du travail que vous faites. Et je sais que nous sommes impatients de faire davantage pour aider les gens non seulement ici au Sénégal, non seulement dans la région, mais dans le monde entier. Aujourd’hui, l’institut fabrique des vaccins contre la fièvre jaune, mais l’objectif principal de notre partenariat et de notre investissement dans l’Institut Pasteur est de permettre à ces locaux et à d’autres de la région d’accroître considérablement leur capacité à produire toute une gamme de vaccins, en particulier contre la COVID-19 et d’autres pandémies potentielles. Le développement de ces capacités est nécessaire, voire crucial, pour renforcer la sécurité sanitaire et la future résilience à la pandémie, non seulement au Sénégal mais sur tout le continent. L’Afrique importe actuellement 99 pour cent de ses vaccins. C’est aussi la région avec le taux le plus bas, comme nous l’avons entendu, de vaccination contre la COVID-19 dans le monde. En augmentant la production de vaccins en Afrique, nous en augmenterons la production globale, mais nous rendrons également plus facile, plus efficace et plus efficiente la distribution des vaccins sur l’ensemble du continent. Et cela va tout simplement sauver des vies. C’est pourquoi la Société de financement du développement international des États-Unis, ou DFC, s’associe à des partenaires européens et sénégalais pour investir dans la transformation de l’Institut Pasteur en un pôle de fabrication de vaccins. Nous avons mobilisé 3,5 millions de dollars pour accroître la production de vaccins ici. Nous travaillons pour mobiliser davantage de financements de la part de partenaires privés et publics. Cette contribution s’inscrit dans le cadre d’un engagement de 16 millions de dollars pris avec des partenaires de l’Union européenne, de la Banque européenne d’investissement, de la France, de l’Allemagne, de la Société financière internationale et du Sénégal. Alors que nous renforçons ces capacités, la communauté internationale doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour sauver des vies maintenant. Un élément clé à cet effet est d’assurer une distribution plus équitable des vaccins dans le monde. En Amérique du Nord et en Europe, plus de la moitié de la population est entièrement vaccinée. En Afrique, encore une fois, comme nous l’avons dit, c’est le cas de moins de 10 pour cent de la population. Nous devons nous unir pour combler ce fossé. Il s’agit d’une obligation morale de justice. Et nous savons également que laisser le virus se propager où que ce soit risque de conduire à l’émergence de nouveaux variants, une menace pour le monde entier. Les États-Unis font pression sur la communauté internationale pour qu’elle intensifie la production de vaccins, honore les engagements que les pays ont déjà pris et fasse preuve de plus d’ambition collective pour mettre fin à ce fléau. C’est le seul moyen d’atteindre l’objectif de l’OMS de vacciner au moins 70 pour cent du monde d’ici à l’automne prochain dans chaque pays à tous les niveaux de revenu au sein de ces pays. J’ai invité mes homologues, d’autres ministres des Affaires étrangères, dont mon amie ici présente, à la toute première réunion des ministres des Affaires étrangères sur la lutte contre la pandémie il y a à peine une semaine. Il faut que toutes les composantes de nos gouvernements respectifs – des ministres des Affaires étrangères aux ministres du Développement, en passant par ceux des Finances, de la Santé comme Abdoulaye Diouf Sarr ici, et qui est ici aujourd’hui, je pense, avec nous – se mobilisent dans le cadre de ce combat avec l’industrie, avec la société civile, avec les philanthropes, avec les leaders communautaires. Les États-Unis se sont engagés à mener par l’exemple. Vous le voyez dans les investissements que nous réalisons ici à l’Institut Pasteur. Vous le voyez dans plus d’un million de doses de vaccins sûres et efficaces que nous avons envoyées au Sénégal gratuitement et sans conditions, dans les plus de 250 millions de doses que nous avons partagées dans le monde, et les plus de 1 milliard de doses que nous donnerons d’ici le début de l’année prochaine, au premier semestre 2022. Vous le voyez également dans les quelque 10 millions de dollars d’aide à la lutte contre la COVID-19 que nous avons envoyés ici au Sénégal et les plus de 5,5 millions contribués par nos Centres pour le contrôle et la prévention des maladies. Ces ressources, entre autres, ont permis de financer des campagnes sur les réseaux sociaux pour apprendre aux gens à se protéger contre le virus, de consolider la chaîne du froid dans ce pays, et de disposer des capacités de stockage nécessaires pour que les vaccins soient efficaces jusqu’à ce qu’ils soient effectivement injectés. Nous le voyons également dans les milliards que le gouvernement des États-Unis investit pour élargir notre capacité de fabrication de vaccins afin que nous puissions produire au moins un milliard de doses par an à partir du second semestre 2022. Maintenant, il s’agit en partie, bien sûr, de mettre fin à la pandémie actuelle, en sauvant des vies dès maintenant. Mais il s’agit également d’investir dans la sécurité sanitaire et des systèmes qui permettront de détecter, de prévenir et de répondre à la prochaine épidémie de maladie infectieuse, que ce soit ici, que ce soit aux États-Unis, ou où que ce soit dans le monde. Et c’est là la préoccupation à laquelle répond le programme Integrated District Health que nous avons annoncé le mois dernier seulement et qui investira plus de 55 millions de dollars dans le système de santé publique du Sénégal. C’est le plus grand projet jamais entrepris par l’USAID dans ce pays. Son objectif est de renforcer les services de santé aux niveaux des districts et des régions afin que les habitants de toutes les régions du pays aient accès à des soins de qualité et abordables. Et nous rassemblerons tous ces soins sous un même toit, de la santé maternelle et infantile à la nutrition en passant par la planification familiale. Voici le résultat des systèmes que nous construisons, des systèmes comme ceux-ci non seulement ils améliorent la santé globale, ce qui est fondamental pour le développement et sauver des vies, mais quand ces services suscitent la confiance, quand ils sont capables et efficaces, quand ils sont bien dotés en personnel, ils permettent de disposer de centres de soins essentiels en cas de crise, qu’il s’agisse une pandémie, qu’il s’agisse d’une catastrophe naturelle, qu’il s’agisse d’un conflit. Louis Pasteur, dont cet institut porte le nom, a dit un jour La science ne connaît pas de patrie parce que le savoir est le patrimoine de l’humanité, le flambeau qui éclaire le monde. » Il y a à mon avis peu de démonstrations plus claires de cette idée que la pandémie actuelle et notre réponse à celle-ci. J’en veux pour exemple la coopération sans précédent entre les scientifiques qui ont partagé des centaines de séquences de génomes viraux entre les institutions et les pays. Cette recherche a rendu possible la découverte de plusieurs vaccins sûrs et efficaces en un temps vraiment record. Le tout premier vaccin contre la COVID-19 approuvé par l’Organisation mondiale de la santé a été mis au point par un médecin né en Turquie qui a grandi en Allemagne et a cofondé une société pharmaceutique européenne, et cette société s’est associée à une société américaine pour créer le vaccin. À l’heure actuelle, ce vaccin et d’autres vaccins sûrs et efficaces comme celui-ci sont produits à New York, à Mayence, à Pune. Imaginez que ces vaccins soient également produits à Sao Paulo et à Bangkok, et ici même à Dakar. C’est ainsi que la sécurité sanitaire mondiale progressera. C’est ce pour quoi nous œuvrons ici avec nos partenaires au Sénégal, et grâce à cela, les populations du monde entier seront plus en sécurité et en meilleure santé. Merci beaucoup. Applaudissements. Voir le contenu d’origine Nous vous proposons cette traduction à titre gracieux. Seul le texte original Quand partirSénégalLE SÉNÉGAL Voilà une jolie façon de découvrir l’Afrique le Sénégal vous séduira forcément à travers ses superbes parcs nationaux, peuplés d’oiseaux et de gros animaux, ses plages bordées de forêts luxuriantes, ses marchés odorants et colorés, et sa musique omniprésente. Outre qu’il est facilement accessible, l’hospitalité de ses habitants vous aidera à vous familiariser peu à peu avec cette culture riche et chaleureuse, qui se nourrit des différences de ses populations. Mais surtout prenez votre temps, et adoptez l’esprit des lieux pas d’impatience et beaucoup d’humour, et votre séjour sera immanquablement magique. Situation Covid-19 Les frontières sont ouvertes à certains pays, une quarantaine peut être imposée, le pays applique actuellement un confinement partiel. Des résultats négatifs au test PCR sont exigés pour tous les pays. Plus d'informations… Quand partir au Sénégal La meilleure période pour visiter le Sénégal est l'hiver, de décembre à janvier dans les terres et un peu plus tard sur la côte et notamment à Dakar que l'on pourra agréablement découvrir jusqu'au printemps. Très favorable Favorable Moyenne Défavorable Très défavorable Choisissez quand partir au Sénégal sur la base des données climatiques des dernières décennies avec notre dossier détaillé. Réservez un voyage sur mesure au Sénégal avec Evaneos Informations pratiques À savoir avant le départ Durée de vol 6 h Fuseau horaire GMT 0 Visa obligatoire non Vaccins obligatoires oui Monnaie franc CFA XOF > Convertisseur de devises 1 XOF = € Langues fr Pourquoi partir au Sénégal ? Détente et loisirs 3 / 5 Culture et villes 1 / 5 Nature et paysages 4 / 5 Votre budget au Sénégal Le tourisme au Sénégal Le Sénégal fait partie de ces destinations qui ont tenu pendant longtemps le haut de l'affiche en matière de tourisme mais qui au fil du temps ont vu leur attractivité décroitre au profit d'autres lieux. Et pourtant, le pays a connu et connait toujours bien moins de problèmes que d'autres moins chanceux en la matière. La nature, les paysages, les cultures et traditions locales retiennent l'attention. Des villes comme Dakar, Saint-Louis du Sénégal ou le site de l'Île de Gorée au large de la capitale méritent une visite. Mais, à force d'une politique touristique improvisée et aberrante dans ses orientations, nombre de visiteurs potentiels et même d'investisseurs ont fini par se détourner du pays au profit d'autres destinations. Bref, l'ex destination phare de l'Afrique de l'Ouest tourne désormais au mieux autour du million de visiteurs avec un public en provenance essentiellement des autres pays de la région puis d'Europe. Et dans le lot, seul un entrant sur cinq se rend au Sénégal pour des vacances, la majorité étant plutôt en voyage d'affaires et surtout en visites chez des amis ou de la famille. Que voir et que faire au Sénégal Le Sénégal est l’endroit rêvé pour un premier contact avec l’Afrique. Dakar, la capitale, vous en donnera un premier aperçu, en particulier à travers le Marché de Sandaga. Visitez aussi le musée d’art africain Théodore Monod, la Grande Mosquée, puis perdez-vous le soir dans l’ambiance musicale de la ville, sans oublier le village de pêcheurs de Soumbédioune dans l’est. La Casamance est une région magnifique mais assez touristique, où vous pourrez vous loger facilement et de façon peu onéreuse dans des hébergements construits dans les règles de l’habitat local, flâner sur le marché artisanal de Zinguinchor et profiter des plages somptueuses à Cap Skirring . Pour découvrir la faune africaine, rendez-vous dans le parc national de Niokolo-Koba, qui abrite des antilopes, des hippopotames, des crocodiles et les derniers éléphants sénégalais. Prenez un bateau pour débarquer sur l’île de Gorée et goûter sa paix et son charme hors du temps, ses maisons aux balcons en fer forgé, ses ruelles ombragées, sa végétation luxuriante, et un musée où se pencher avec émotion sur l’histoire du commerce des esclaves, appelé d’ailleurs La Maison des Esclaves. Enfin, Saint-Louis constitue un petit bijou de calme, avec ses plages, ses oiseaux à observer dans le parc national de Djoudj, ses lagunes. Un leitmotiv bercera inévitablement votre voyage l’humour espiègle de la population. • Que faire avec des enfants ?• Activités de plein air• Voyage thématique Le Sénégal en pratique Dakar est très bien desservie par de nombreuses compagnies aériennes. Aucun visa n’est nécessaire pour les ressortissants de l’UE. La devise est le franc CFA. Le budget à prévoir reste très raisonnable une chambre double avec petit déjeuner vous coûtera environ 25 €, et un repas moyen, bon et copieux, souvent moins de 10 €. En ce qui concerne la santé, il est conseillé d’avoir à jour ses vaccinations classiques, auxquelles ajouter celles contre la fièvre jaune, la typhoïde et les hépatites A et B. Les précautions à prendre sont toujours les mêmes en Afrique se laver les mains, ne pas boire l’eau de robinet, se méfier des crudités et des produits laitiers, ne pas se baigner en eau stagnante. Pour les déplacements dans le pays, le car et le taxi-brousse sont fréquents et assez sûrs. Le vélo est une solution à retenir, vu la platitude du relief. Dans les villes, les taxis sont faciles à trouver. Et n’oubliez pas que le marchandage est une tradition locale, à pratiquer sans modération ! • Formalités et visa• Santé et sécurité• Transports Articles sur la destination • Le lac Rose de DakarLe lac Rose, officiellement lac Retba, est un des sites les plus visités de la région de Dakar, et même du Sénégal. Il doit sa renommée - et son nom - à la couleur de son eau due à la présence de certaines algues qui lui donnent cette teinte la suite...• L'actualité du voyage en AfriqueMême en période de pandémie, il existe toujours aussi une actualité voyage » indépendante du Covid. Tour d’horizon des dernières informations tourisme concernant le continent africain...lire la suite... Réservez un voyage sur mesure au Sénégal avec Evaneos Ailleurs sur QuandPartir et sur le webAlors que la Nouvelle-Zélande se rouvre peu à peu au monde extérieur, demeurant l'un des pays au monde ayant le…Lire la la question habituelle pour ceux qui partent hors saison, où aller lorsque les vacances estivales de la plupart sont terminées et que l’on souhaite plus…Lire la parle très souvent ici comme ailleurs du voyage en avion et beaucoup moins il est vrai du voyage en train. Pourtant, au niveau mondial, bien plus de gens se déplacent…Lire la une ville au charme certain, marquée par l'ancienne présence portugaise, avec en plus une superbe médina inscrite au…Lire la suite. Guide de voyageSénégalCasamance Au sud du Sénégal, entre Gambie et Guinée-Bissau, la Casamance s'étire sur 300 km le long du fleuve du même nom relié. C'est une destination d'une grande beauté et d'une riche biodiversité, à la végétation tropicale, arrosé de nombreux cours d'eau et doté de terres fertiles. On découvre la région en reliant les villages en pirogue, voire en randonnée pédestre. Pour la plage direction le Cap-Skirring, la cité balnéaire et un brin chic de la côte occidentale sur l'océan Atlantique. Capitale de la Casamance, Ziguinchor possède un cachet provincial et authentique. C'est tout le charme de l'Afrique profonde ici, que vous fera découvrir votre guide touristique. Pour le reste, la nature luxuriante offre forêts de palétuviers et mangroves, palmeraies et nombreuses essences d'arbres exotiques dont le caïlcédrat, le fromager, le rônier, le filao et le flamboyant. Habité par les crocodiles et les hippopotames, le fleuve est aussi le paradis des oiseaux, pélicans, ibis, flamants roses, marabouts… Les eaux du littoral et de la lagune regorgent d'espadons, barracudas, murènes, raies, dorades… D'ailleurs en Casamance vous allez vous régaler avec des plats de poissons emblématiques dont le Tiéboudienne ou le Kaldou, mais aussi de crevettes, de crabes, d'huîtres de palétuviers et bien entendu du bon riz qui pousse en Casamance. Huile de palme et citron vert à la clé. Un conseil offrez-vous une nuit au moins dans un campement villageois intégré. Dormir dans une grande case collective gérée par le village est une belle expérience et une option inoubliable de l'écotourisme. Lire la suite Adresses Futées de la Casamance Les meilleurs restaurants Quand partir en Casamance ?Quand partir en Casamance ? Il fait beau et sec presque toute l'année au Sénégal. La meilleure période pour s'y rendre se situe entre novembre et juin les températures sont idéales surtout entre avril et juin et vous ne souffrirez pas trop de la chaleur à cette période. L’hivernage, la saison des pluies, se situe de juillet à octobre. La Casamance, contrée plus verte, amorce sa saison des pluies dès les mois d'avril ou mai. Le climat est défavorable en Casamance en avril et en mai avec des températures de 29 °C à 43 °C. La meilleure période pour partir s'étend de novembre à février inclus. C'est alors la haute saison touristique, toutes les infrastructures touristiques fonctionnent ce qui n'est pas le cas hors saison. Si l'été n'enregistre pas les plus fortes températures, l'humidité étant alors à son maximum, il en résulte une vraie fournaise que les Occidentaux ont du mal à supporter. C'est aussi la période où les moustiques sont les plus nombreux. Enfin, sachez que cette région étant soumise à certains troubles, mieux vaut vous renseigner sur le site Internet du ministère des Affaires étrangères avant votre départ, pour vérifier si la période est favorable. Météo Budget Formalités Santé Météo en ce moment Météo à l'année La Casamance est soumise à un climat tropical qui est sensiblement adouci par les vents provenant de l'océan Atlantique. C'est la région la plus arrosée du Sénégal Ziguinchor enregistre 1 250 mm de pluie par an. La Casamance connaît une saison des pluies allongée de juillet à septembre. La moyenne des températures en Casamance oscille au cours de l'année entre 26 et 32 °C, pendant la journée. Durant l'hivernage la température ne baisse même pas durant la nuit. BudgetLa monnaie est le franc CFA FCFA d’Afrique de l’Ouest. Pour un Occidental, un séjour au Sénégal ne coûtera pas très cher. L'hébergement, même en établissement de luxe, reste raisonnable. Vous trouvez à vous nourrir à petits prix en Casamance dans les villes et les villages. Prévoyez du liquide, la carte bancaire n'a presque pas cours là-bas. Et n'hésitez pas à marchander. À commencer par la course en taxi... On s'y habitue fort bien ! FormalitésPour se rendre au Sénégal, les ressortissants de l'Union européenne n'ont plus besoin de visa. Il en est de même pour les Américains des États-Unis, les Canadiens ou les Suisses. Il suffit que vous soyez munis d'un passeport en cours de validité. Pour un séjour de plus de trois mois au Sénégal, il vous faudra obtenir une carte de résident. On ne demande plus désormais la vaccination contre la fièvre jaune à la frontière, mais il est recommandé de le faire si vous allez en brousse. Pour les animaux, un certificat de vaccination antirabique et un certificat de bonne santé sont exigés. Attention si vous devez passer par la Gambie vous devrez avoir un visa qu'il est possible d'obtenir avant de partir ou au poste-frontière moins cher. SantéPrévoyez un traitement contre le paludisme. Mieux vaut vous faire vacciner contre la fièvre jaune et l’hépatite A, même si aucun vaccin n'est obligatoire pour entrer au Sénégal. Vérifiez que vous êtes à jour de vos rappels DT Polio. Le gros souci c'est l'eau. L'eau courante au Sénégal n'est pas potable. Vous devrez la purifier avec des filtres ou des pastilles avant de la consommer. Boire de l'eau minérale est une autre solution, mais plus coûteuse, d'autant que vous allez beaucoup beaucoup boire ! Faites un stock de médicaments de base avant de partir anti-diarrhéique avec ou sans fièvre et anti-vomitif pour le mal des transports par exemple. Si la nourriture est excellente au niveau du goût, elle n'est pas forcément préparée dans de bonnes conditions hygiéniques. Gare à la tourista. Enfin, protégez-vous du soleil. Et surtout, hydratez-vous. Au besoin, prenez des cachets de sel. Comment partir en Casamance ? Nos conseils & astuces Voyages organisés Partir seule Se déplacerLes voyages organisés sont très nombreux pour découvrir le pays de la Teranga. La Casamance est au programme. Séjour mariant balnéaire au cap Skirring, visite de Ziguinchor, remontée du fleuve Casamance en pirogue, nuit dans un campement villageois, etc. À vous de choisir les options qui vous conviennent en fonction de votre budget, de vos envies et de votre notre sélections d'agences de voyages pour cette destinationVous avez quelques places sur un vol direct Paris/Cap Skirring celui du Club Med, commercialisées par Cap Casamance. Sinon, les vols directs de l'Europe vers le Sénégal ne concernent que Dakar. Il faut ensuite prendre un bateau jusqu'à Ziguinchor, puis un bus pour le Cap Skirring ou l'intérieur des terres. Il est conseillé réserver ses hébergements à l'avance. Cela vous facilitera le voyage. Si le Sénégal est globalement un pays sûr, la Casamance connaît parfois certains troubles. Et n'oubliez pas qu'il s'agit d'un pays pauvre où vos richesses peuvent attirer la convoitise soyez vigilant. Être accompagné d'un guide local peut s'avérer utile même si dans les villages la gentillesse et l'hospitalité Sénégal, les transports en commun ne sont guère confortables ni fiables quant aux horaires. Optez pour le taxi-brousse ou le car-rapide pour voyager à l'africaine. En Casamance, vous pouvez vous déplacer en pirogue le long du fleuve. Possibilité aussi de louer des quads, des motos ou des mobylettes. Organiser son voyage en Casamance Transports Réservez vos billets d'avions Location voiture Taxi et VTC Location bateaux Hébergements & séjours Trouver un hôtel Location de vacances Echange de logement Trouvez votre camping Services / Sur place Réservez une table Activités & visites Voyage sur mesure Apprendre une langue étrangère Photos de la Casamance Guide SÉNÉGAL SÉNÉGAL 2022 €2022-08-17360 pages D'autres destinations en Casamance Forum Participer au forum Sénégal Dernière discussion lancée par Jeandutouch Participer au forum En dehors de la Guyane française, les territoires pays dans lesquels la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire sont tous situés en Afrique. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de la République de Centrafrique, de la République Démocratique du Congo, de la Côte d'Ivoire, du Gabon, du Ghana, du Libéria, du Mali, du Niger, du Rwanda, de Sao Tome & Principe et du d’autres pays, un certificat de vaccination contre la fièvre jaune est exigé de tous voyageurs âgés de plus d’1 an en provenance de pays où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune. Il s’agit de l’Afrique du sud, de l’Algérie, du Cap Vert, de Djibouti, d’Erythrée, d’Egypte, du Lesotho, de la Libye, du Malawi, de Madagascar, de Mauritanie, du Mozambique, de la Namibie, du Swaziland, de la Zambie. La vaccination est programmée selon un calendrier. Vous pouvez également vous faire vacciner en cas d'oubli, grâce au rattrapage vaccinal. De nombreux professionnels de santé sont habilités à vacciner. Avant de partir en voyage, faites le point sur vos vaccins et les vaccins obligatoires, selon votre destination. Suivez le calendrier vaccinal Un calendrier des vaccins bien établi et actualisé Le calendrier vaccinal est actualisé chaque année par le Ministère de la Santé, sur avis d’une commission d’experts scientifiques, la Commission technique des vaccinations de la Haute Autorité de santé HAS. Le calendrier vaccinal fixe les vaccinations pour les personnes résidant en France, en fonction de leur âge. Ainsi pour les nourrissons de moins de deux ans, le parcours vaccinal est constitué de 6 rendez-vous et 10 injections avec des vaccins combinés ; donne des recommandations générales ; donne des recommandations particulières pour des personnes présentant des risques accrus du fait de leur état de santé ou d’une exposition plus forte ; fixe le rythme des injections. Sur les conseils de votre médecin traitant ou de votre pédiatre, essayez de respecter les dates préconisées pour l’administration des vaccins à votre enfant et à vous-même. En cas d'oubli, le rattrapage vaccinal Très souvent, le calendrier vaccinal n'est pas respecté oubli d'une ou de plusieurs injections. Dans ce cas, le calendrier vaccinal précise comment effectuer le rattrapage. En général, il n'est pas nécessaire de tout reprendre à zéro. Demandez conseil à votre médecin. Consultez le calendrier vaccinal 2022 sur le site du ministère des Solidarités et de la santé. Parcours vaccinal des 0 – 2 ans En France, 6 rendez-vous médicaux sont obligatoires, afin de réaliser 10 injections. Ces rendez-vous doivent être pris au deuxième mois, au quatrième mois, au cinquième mois, au onzième mois, au douzième mois et le dernier, entre le seizième et le dix-huitième mois de l’enfant. Ces 10 injections sont nécessaires pour lutter contre onze maladies aux conséquences graves. La peut entraîner des paralysies ou le décès. La coqueluche peut entraîner de la détresse respiratoire ou le décès. La diphtérie peut entraîner de l’asphyxie ou le décès. Le tétanos peut entraîner des paralysies ou le décès. Les oreillons peuvent entraîner des méningites ou des atteintes testiculaires. La rougeole peut entraîner de l’, des pneumonies ou le décès. La rubéole peut entraîner des malformations fœtales. Le pneumocoque peut entraîner des méningites, des handicaps ou le décès. Le méningocoqueC peut entraîner des méningites, des amputations ou le décès. L’hépatiteB peut entraîner une cirrhose ou un cancer. L’Haemophilus influenzaede type B peut entraîner des méningites ou le décès. Plus de 70 % des enfants en France sont déjà vaccinés contre ces onze maladies. Cette infographie est proposée par le Ministère des Solidarités et de la Santé, de la République française. Pour plus d’informations sur ce sujet, consultez le site Qui peut vous prescrire les vaccins et vous vacciner ? Qui peut prescrire un vaccin ? Les vaccins peuvent être prescrits par un médecin ; un médecin de santé scolaire, uniquement pour les vaccins qui ouvrent droit au remboursement et à l'intention des élèves scolarisés dans les établissements d'enseignement des premier et second degrés de son secteur d'intervention ; les médecins du travail pour des vaccins qui ne sont pas directement induits par les risques professionnels mais qui participent à la stratégie de prévention en santé de la population générale ; une sage-femme. Qui peut délivrer un vaccin ? Le vaccin est délivré par un pharmacien de ville ; dans le cadre de leurs missions, un centre de vaccination, un centre de vaccinations internationales agréé et un centre de protection maternelle et infantile PMI. Qui peut vacciner ? Les professionnels de santé suivants, qu’ils exercent en libéral, en milieu hospitalier, en centre de santé, en PMI, en centre de vaccination, en centre de vaccinations internationales agréé ou en pharmacie sont autorisés à vacciner un médecin médecin généraliste, médecin spécialiste, médecin de santé scolaire pour les élèves scolarisés dans les établissements d'enseignement des premier et second degrés de son secteur d'intervention, médecin du travail pour les salariés de son secteur, médecin de centre d’examen de santé ; une sage-femme pour la femme, le nouveau-né et son entourage, jusqu’à 2 mois après l’accouchement ; un infirmier, sur prescription médicale ; un pharmacien, uniquement pour la vaccination contre la grippe saisonnière. Vaccination Covid-19 un cas particulier Dans le cadre de l'épidémie de Covid-19, la prescription des vaccins et la réalisation de la vaccination a été étendue à de nombreux professionnels de l'article "Covid Qui peut se faire vacciner, quand et comment ?" Voyages vaccins obligatoires et recommandés Un déplacement dans un autre pays est l'occasion de mettre à jour ses vaccinations. Pour les enfants comme pour les adultes, il faut d’abord être à jour des vaccinations obligatoires et recommandées en France. Cela est particulièrement vrai pour les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la , car ces maladies sont encore bien présentes dans de nombreux pays. Voyager dans certaines régions du monde expose à des maladies infectieuses. Beaucoup peuvent être prévenues par la vaccination. Pour préparer votre voyage sereinement, mieux vaut vous renseigner dès que vous connaissez votre destination sur l’état sanitaire de la région visitée, les vaccins recommandés aux voyageurs français comme le vaccin contre la rage et les vaccins obligatoires pour franchir la frontière d’un pays, comme le vaccin contre la fièvre jaune. Prenez de l'avance et consultez votre médecin traitant au moins six semaines avant de partir. Il établira un plan de vaccination adapté à votre âge et à votre état de santé. Le programme vaccinal est adapté à la région visitée, aux conditions du voyage résidence fixe en zone touristique, voyage itinérant en pleine nature… et au cas particulier de chaque personne. Attention, certains vaccins sont disponibles uniquement dans les Centres agréés de Vaccination Internationale. C’est le cas par exemple pour le vaccin contre la fièvre jaune ou contre l'encéphalite japonaise. Les Centres agréés de Vaccination Internationale délivrent à chaque personne vaccinée un carnet de vaccination international, qui répond aux normes fixées par l’Organisation Mondiale de la Santé OMS. L’inscription sur ce carnet de la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire. C’est ce carnet qu’il faudra présenter à la frontière des pays qui exigent une vaccination. Outre les vaccinations, d'autres mesures peuvent être nécessaires, comme la protection contre les maladies transmises par les moustiques par exemple le paludisme. Parlez-en à votre médecin. Vaccinations informez-vous avant de partir en voyage Les recommandations et les obligations vaccinales sont mises à jour chaque année pour tenir compte des évolutions épidémiques. Elles peuvent être consultées sur le site du ministère des Solidarités et de la santé, et sur le site du ministère des Affaires Étrangères dans les recommandations aux voyageurs. Elles sont également publiées par Santé publique France. Si vous devez voyager, consultez les sites suivants pour savoir si et quand vous devez vous faire vacciner. Informations sur les vaccinations en cas de voyage à l’étranger sur le site Conseils aux voyageurs sur le site Ministère des Affaires étrangères Recommandations sanitaires aux voyageurs sur le site Santé publique France Où se faire vacciner ? Liste des centres habilités à pratiquer la vaccination contre la fièvre jaune sur le site Ministère des Solidarités et de la santé Recommandations sanitaires pour les voyageurs 2021. BEH Hors série du 1er juin 2021. Site internet Santé publique France. Saint–Maurice France ; 2021 [consulté le 21 juin 2021] Santé publique France. La vaccination. Site internet Santé publique France. Saint-Maurice France ; 2020 [consulté le 2 octobre 2020] Ministère des Solidarités et de la santé. Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2021. Site internet Ministère des Solidarités et de la santé. Paris France ; 2021 [consulté le 21 juin 2021] Calendrier vaccinal 2022Brochure - PDF, Mo Vaccination Info Service Vaccination prise en charge

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